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主演:
泰雅·迪格斯,凯瑟琳·泽塔-琼斯,蕾妮·齐薇格,多米尼克·韦斯特,杰恩·伊斯特伍德,约翰·C·赖利,科鲁姆·费奥瑞,奇塔·里维拉,奎恩·拉提法,苏珊·米斯纳尔,DeniseFaye,迪德尔·古德温,叶卡捷琳娜切特希尔卡诺娃,玛雅,乔伊皮奇,塞巴斯蒂安·拉·考斯,理查·基尔,克里斯汀·芭伦斯基,布兰登·沃尔,GerryFiorini,刘玉玲,约瑟夫·斯科伦,莫妮卡·甘德顿,AprilMorgan,马蒂·莫罗,肖恩·麦卡恩,杰夫·克拉克,PatrickSalvagna,凯瑟琳·泽纳,杰夫·普斯蒂尔,M
上映:
2002
备注
HD
类型:
电影
剧情:
  两个女人,有着相似的经历,甚至是相似的心计,展开了为求成名的争夺战。  维尔玛(凯瑟琳•泽塔-琼斯 Catherine Zeta-Jones饰)是一个夜总会舞女,名气不大。因为一怒之下枪杀了出轨丈夫而被关进大牢。比利(理查德•基尔Richard Gere饰)是当地一个靠打谋杀案官司而提升知名度的律师,他受理了这桩案件,心中有着自己的打算。他借助媒体炒作维尔玛的案子,一方面维尔玛瞬间成为红人,而他自己也声名大振。  然而洛克茜(芮妮·齐薇格 Renée Zellweger 饰)的案件却让比利转移了注意力。梦想成为歌星的洛克茜也是因为怒杀男友而身负罪名,比利决定要把她包装成楚楚可怜的受害者,令媒体更疯狂的大肆报道。  维尔玛觉察形势不妙,为了成名,她跟洛克茜之间的斗法不可避免的开始了。…

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蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
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