注册新用户

已有账号?

登录你的账户

还没有账号? 注册新用户

主演:
瑞奈·福尔,珍妮·霍尔特,Sylvie,米拉·帕雷利,玛丽-埃莱娜·达斯泰,约兰德拉丰,PaulaDehelly,西尔维亚·蒙福尔,GilberteTerbois,路易斯·塞格纳,GeorgesColin,GenevièveMorel,ChristianeBarry
上映:
1943
备注
DVD
类型:
电影
剧情:
  玛丽安娜(Renée Faure 饰)从小立志成为一名修女,而在偌大的修道院中,没有任何一个人对待上帝能有玛丽安娜这般虔诚,因此,玛丽安娜成为了修女们眼中的异类。对于同伴们的嘲笑和奚落,玛丽安娜并不在意,侍奉着上帝的每一天都让她的内心感到无比的宁静和快乐。  某一天,这种宁静被打破了,她听见了上帝的声音,让她帮助名叫泰莱斯(Jany Holt 饰)的女人。泰莱斯是一个妓女,犯了谋杀罪行的她为了逃避惩罚躲入了修道院中。对于玛丽安娜的照顾和关怀,泰莱斯置若罔闻,在内心里,她甚至不相信上帝的存在。终于,警察来到修道院逮捕了泰莱斯,玛丽安娜伤心欲绝。被逐出教会的她依然日日躲在教会后面的树林里祷告,终于患上不治之症。临死前,泰莱斯被带到玛丽安娜的跟前,在她憔悴虚弱的脸上,泰莱斯仿佛看见了上帝,也看见了自己的罪孽。…

播放列表

猜你喜欢

1969 欧美
笔记·日志·素描
蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
HD

该资源权限:vip用户

当前vip价格:¥75